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Cette carte fait partie d'un ensemble de deux cartes représentant le cours de l'Oise. Les repères importants pour les opérations géodésiques sont indiqués. Aussi cette carte apporte des renseignements de nature variée : les arbres remarquables, les églises, les moulins sont autant de points de repère qui ne figurent habituellement pas sur les cartes des ingénieurs des ponts et chaussées. La carte est sans doute adaptée de celle des Cassini.
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Carte historique de navigation de la Basse-Seine entre Paris et Rouen réalisée par Raoul Vuillaume. Seuls certains secteurs du cours d'eau ont été représentés et donnent des informations sur le tracé de la Seine et l'environnement proche de l'époque (villes, zones industrielles, forêts, relief, ponts...). Les relevés ont été effectués durant l'année 1898 et les cartes ont été publiées en 1899. Le secteur amont de Vernon s'étend de Port-Villez aux abords de Vernon. La rive gauche est vallonnée et boisée. Un bras contourne l'île de Giverny rive droite et longe le village du même nom.
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Plan coté effectué par L. Duchanoy et destiné à être joint aux rapports des Ingénieurs ordinaires des Ponts et Chaussées supervisés par Becquey de Beaupré. Comme semble le montrer le géoréférencement, le projet ne semble pas avoir été réalisé, ou a été modifié par la suite. Les couleurs rouges et bleues ne sont pas légendées. Tous les projets indiqués dans la légende ne sont pas figurés sur le plan, par exemple l'agrandissement du Parvis de Notre-Dame.
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Levées entre 1745 et 1780 sur ordre de l’administrateur des Ponts et Chaussées, Charles Trudaine, les cartes de l’atlas des routes de France, dit atlas Trudaine, couvrent les pays d’élection de la France du XVIIIe siècle, dont la quasi-totalité du bassin de la Seine. Les cartes ont été levées à une échelle d’environ 1/8600e. L’atlas est conservé aux Archives nationales ; les cartes numérisées sont accessibles en ligne (site des Archives nationales, base de données Archim). Ce relevé de données englobe une grande partie du cours du Grand-Morin depuis Tréfols en amont jusqu’à Couilly-Pont-aux-Dames en aval. Cette aire est couverte par douze cartes contigües de l’atlas. Même si les routes (existantes ou en projet) forment l’objet principal de l’atlas, les cartes décrivent précisément les abords immédiats des routes : agglomérations principales et secondaires, réseau hydrographique, ouvrages hydrauliques (moulins, barrages), occupation du sol.
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Carte de la vallée de la Marne de Fronville à Chamouilley (19ème siècle). Ce plan a été levé par les géomètres Dupaty - Minguet - Matrat – Thévenot. C'est un ensemble de six feuilles, ici la feuille 2. Un grand soin a été apporté à la représentation des églises, très stylisées. Les prés, prairies, terres labourables et vignes sont indiqués. Les chemins sont également représentés. Cette carte est élaborée selon le « genre fini », qui apporte un grand soin aux détails et à la couleur, qui doit être transparente et s’approcher le plus possible de la nature. Le tracé est minutieux et appliqué et l’on distingue même les ombres des arbres.
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Levées entre 1745 et 1780 sur ordre de l’administrateur des Ponts et Chaussées, Charles Trudaine, les cartes de l’atlas des routes de France, dit atlas Trudaine, couvrent les pays d’élection de la France du XVIIIe siècle, dont la quasi-totalité du bassin de la Seine. Les cartes ont été levées à une échelle d’environ 1/8600e. L’atlas est conservé aux Archives nationales ; les cartes numérisées sont accessibles en ligne (site des Archives nationales, base de données Archim). Ce relevé de données englobe une grande partie du cours du Grand-Morin depuis Tréfols en amont jusqu’à Couilly-Pont-aux-Dames en aval. Cette aire est couverte par douze cartes contigües de l’atlas. Même si les routes (existantes ou en projet) forment l’objet principal de l’atlas, les cartes décrivent précisément les abords immédiats des routes : agglomérations principales et secondaires, réseau hydrographique, ouvrages hydrauliques (moulins, barrages), occupation du sol.
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Seine: Les étangs de la carte de Cassini sur le bassin versant de la Seine (fin 18ème - début 19ème)
Localisation des étangs présents sur la carte de Cassini réalisée fin XVIIIe - début XIXe siècles sur le bassin versant de la Seine. A chaque étang est associée dans une table attributaire sa surface et son volume.
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Le plan de la Seine entre Montereau et Paris est constitué d'un ensemble de douze calques, réalisés en 1848. Il s'agit ici de la feuille 7 qui présente le cours de la Seine de Seine-Port au Plessis-Chenet.
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Ce plan et ce profil sont destinés à « faire connaître la forme du terrain dans l'emplacement de la gare », en vue de la construction d'un pont, qui sera effectivement réalisé. L'emplacement est dessiné en plan et de profil. Il est intéressant de souligner ici que le célèbre ingénieur Navier choisit comme point de référence un zéro à 15 mètres au dessus de l'étiage. Cette technique, utilisée dans un premier temps pour les relevés hydrographique a été surtout été théorisée par les militaires. Deux dates sont indiquées sur la carte 1810 et 1801. La commission topographique qui s'est tenue en 1802 préconise le choix du zero au niveau général de la mer. On pourrait donc penser que c'est l'ingénieur Navier qui s'est trompé de date... Seulement Navier n'a accédé au grade d'ingénieur qu'en 1806. Il s'agit donc d'une erreur de l'ingénieur en chef. La carte est bien de 1810, Navier choisit donc de ne pas respecter les préconisations de la commission de topographie, sans doute à cause de la nature de l'ouvrage construit.
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Carte manuscrite, dessinée à la plume et lavée de rouge et de jaune. La couleur rouge indique les limites du département de l'Eure. La couleur jaune est utilisée pour les départements de la Seine et Oise, du Cher et du Loiret. Les toponymes sont figuré par des points rouges dont la taille dépend de l'importance de de la ville. Le dessinateur a en fait copié une carte et s'est amusé à jouer avec les codes élaborés à l'époque moderne. En haut à gauche la rivière s'échappe de la bordure qui elle reste très conventionnelle. Un certain dynamisme, rompant avec l'austérité du dessin est apporté par le titre qui est très travaillé. Cette exagération est la marque d'une connaissance, d'une appropriation et d'une réponse aux conventions du XVIIIe siècle, presque tombées en désuétude au second quart du XIXe.