aménagement technique de l'eau
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Cette carte a pour but d'indiquer l'emplacement de projets d'écluse sur l'Aisne entre Soissons et Berneuil. Une série de nouvelles écluses sont suggérées ainsi que l'assainissement du chemin de halage près de Crouy. Des écluses ont effectivement été réalisées près de Choisy au Bac, Rethondes, Fontenoy, et Vic-sur-Aisne. A Villeneuve-Saint-Germain, une écluse a bien été réalisée mais de l'autre côté de la rivière. Complété par un canal de dérivation, cet aménagement permet de raccourcir le temps de navigation. Le document est très simplement lavé. La végétation n'est pas figurée et seuls les chemins principaux sont indiqués. Elle ne possède ni titre, ni bordure, ni signature.
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Plan coté effectué par L. Duchanoy et destiné à être joint aux rapports des Ingénieurs ordinaires des Ponts et Chaussées supervisés par Becquey de Beaupré. Comme semble le montrer le géoréférencement, le projet ne semble pas avoir été réalisé, ou a été modifié par la suite. Les couleurs rouges et bleues ne sont pas légendées. Tous les projets indiqués dans la légende ne sont pas figurés sur le plan, par exemple l'agrandissement du Parvis de Notre-Dame.
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Cours de l'Yonne et plan des emplacements des 35 barrages mobiles proposés pour l'amélioration de la navigation de l'Yonne, depuis Auxerre jusqu'à Gurgy. Carte de Jacques Chanoine, ingénieur ordinaire attaché à la navigation de l'Yonne, à Sens (1837).
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Ce plan détaillé présente le projet de canalisation de l'Aisne en aval de Condé-sur-Aisne. La partie comprise s'étend entre le premier barrage à l'amont de Soissons et la rivière Oise. La carte a été réalisée en 1837 par Marcilly, ingénieur en chef à Soissons. Le canal latéral à l'Aisne a ouvert en 1841, sur une longueur de 51,5 km.
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Plan général du port de la Râpée et des abords de la gare projetée dans les fosses de l'Arsenal. Carte dressée par Gérard, ingénieur ordinaire à Paris (1809). Les traits rouges indiquent les quais projetés. Les quais ne devant pas rétrécir le lit de la rivière , leur construction se fera au dépend des habitations existantes. Les traits en bleu se rapportent à la construction du port. Ce projet a été modifié, et validé au cours d'un long processus de plusieurs mois visibles par les différents paraphes. La profondeur est figurée non seulement par une coupe transversale de la rivière. Les cotes se rapportent au zéro du pont de la Tournelle.
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Carte explicative des travaux faits par les entrepreneurs de la rivière d'Aisne suivant le plan dressé en 1784 de Condé-sur-Aisne à Pontavert. Carte du 18ème siècle géoréférencée à l'aide de la carte d'Etat-Major. Il n'y a pas suffisamment de repères hors de la rivière pour effectuer un géoréférencement correct mais on distingue le gué (à l'emplacement de l'actuel pont) de Pontavert, une boucle de l'Aisne dans Pontavert qui alimente le moulin et plusieurs iles en amont de Pontavert.
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Carte du cours de la Marne depuis Chamouilley (Haute-Marne) jusqu'à la Seine. Carte de Brière de Mondétour (1836). La carte est contre-collée sur une autre feuille sur laquelle a été ajouté le titre et la signature de l'ingénieur en chef. La carte, insérée dans un projet indique les toponymes, les chemins, les forêts aux abords du cours de la Marne. Le projet d'amélioration de la navigation est tracé en rouge : il s'agit de construire un canal latéral à la Marne entre Cumière et Vitry-le-François. A Vitry-le-François deux canal permettraient de continuer la navigation : le canal de la Marne à la Saône et le canal de la Marne au Rhin. Le canal latéral à la Marne semble effectivement avoir été construit grâce à ce projet. Les travaux ont été autorisés en 1837 et ouvert un an plus tard. En revanche le canal de la Marne au Rhin ne suit pas le trajet prévu par l'ingénieur. Il est aussi plus récent : les travaux ont débuté une fois le canal latéral achevé. Le canal de la Marne au Rhin, lui, date du XVIIème siècle.
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Ce plan présente le cours de l'Aisne depuis la limite du département des Ardennes jusqu'à l'embouchure de la Vesle. C'est un plan courbe, qui suit le cours de l'Aisne. La carte a été réalisée en 1834 par Marcilly, ingénieur en chef à Soissons. Cette carte présente un projet de canal de canal latéral entre Neuchâtel et le passage du bac de Condé-sur-Aisne. Le canal et les ouvrages qui s'y rapportent sont représentés en rouge. Cette carte est élaborée selon le « genre fini », qui apporte un grand soin aux détails et à la couleur, qui doit être transparente et s’approcher le plus possible de la nature. Le tracé est minutieux et appliqué et l’on distingue même les ombres des arbres. Le canal latéral à l'Aisne a ouvert en 1841, sur une longueur de 51,5 km.
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Cette carte a été levée à l'occasion de la construction du canal du Loing. Le projet élaboré à partir de 1644 a débuté en 1720 et le nouveau canal a été ouvert trois ans plus tard. La carte a donc sans doute été réalisée entre 1720 et 1723. La mise en couleur et l'iconographie de la carte restent parfaitement conventionnelles et correspondent aux réalisations de cette période. Son géoréférencement révèle que notre document est assez exact. On remarque une modification du tracé du canal près d'Epizy, peut-être le résultat de la modernisation des canaux prévus dans le cadre du plan Freycinet.
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Ce plan et ce profil sont destinés à « faire connaître la forme du terrain dans l'emplacement de la gare », en vue de la construction d'un pont, qui sera effectivement réalisé. L'emplacement est dessiné en plan et de profil. Il est intéressant de souligner ici que le célèbre ingénieur Navier choisit comme point de référence un zéro à 15 mètres au dessus de l'étiage. Cette technique, utilisée dans un premier temps pour les relevés hydrographique a été surtout été théorisée par les militaires. Deux dates sont indiquées sur la carte 1810 et 1801. La commission topographique qui s'est tenue en 1802 préconise le choix du zero au niveau général de la mer. On pourrait donc penser que c'est l'ingénieur Navier qui s'est trompé de date... Seulement Navier n'a accédé au grade d'ingénieur qu'en 1806. Il s'agit donc d'une erreur de l'ingénieur en chef. La carte est bien de 1810, Navier choisit donc de ne pas respecter les préconisations de la commission de topographie, sans doute à cause de la nature de l'ouvrage construit.