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    Ce plan présente le cours de l'Aisne depuis la limite du département des Ardennes jusqu'à l'embouchure de la Vesle. C'est un plan courbe, qui suit le cours de l'Aisne. La carte a été réalisée en 1834 par Marcilly, ingénieur en chef à Soissons. Cette carte présente un projet de canal de canal latéral entre Neuchâtel et le passage du bac de Condé-sur-Aisne. Le canal et les ouvrages qui s'y rapportent sont représentés en rouge. Cette carte est élaborée selon le « genre fini », qui apporte un grand soin aux détails et à la couleur, qui doit être transparente et s’approcher le plus possible de la nature. Le tracé est minutieux et appliqué et l’on distingue même les ombres des arbres. Le canal latéral à l'Aisne a ouvert en 1841, sur une longueur de 51,5 km.

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    Carte historique de navigation de la Basse-Seine entre Paris et Rouen réalisée par Raoul Vuillaume. Seuls certains secteurs du cours d'eau ont été représentés et donnent des informations sur le tracé de la Seine et l'environnement proche de l'époque (villes, zones industrielles, forêts, relief, ponts...). Les relevés ont été effectués durant l'année 1898 et les cartes ont été publiées en 1899. Le secteur de Cléon s'étend du village aux îles en aval : Légarée et Durand.

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    Cette carte s'inscrit dans un ensemble de 17 feuilles qui présentent le cours général de l'Yonne depuis Auxerre jusqu'à Montereau. Les projets de canalisation de la rivière sont représentés sur ces cartes. Elles ont été élaborées en 1833 par l'ingénieur Robillard. Il s'agit de la feuille 15 qui présente le cours de l'Yonne de Courlon à Port-Renard.

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    Suite au rapport d'Alexandre Chailloux, sur les plaintes des riverains concernant l'eau stagnante dans le faux bras du bourg d'Argenteuil, un projet est conçu par l'ingénieur Lesage. Le plan est lavé selon les conventions. Même s'il s'agit d'un document technique (les cotes et la profondeur de l'eau sont ajoutés à l'encre rouge), on remarquera l’attention portée à la représentation des jardins et de la végétation environnante, comme il est d'usage dans le troisième quart du XVIIIème siècle, chez les ingénieurs des Ponts et chaussées.

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    Plan du quai de l'Archevêché, actuelle île de la Cité. Carte de B. L. Devilliers (1811).

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    Levées entre 1745 et 1780 sur ordre de l’administrateur des Ponts et Chaussées, Charles Trudaine, les cartes de l’atlas des routes de France, dit atlas Trudaine, couvrent les pays d’élection de la France du XVIIIe siècle, dont la quasi-totalité du bassin de la Seine. Les cartes ont été levées à une échelle d’environ 1/8600e. L’atlas est conservé aux Archives nationales ; les cartes numérisées sont accessibles en ligne (site des Archives nationales, base de données Archim). Ce relevé de données englobe une grande partie du cours du Grand-Morin depuis Tréfols en amont jusqu’à Couilly-Pont-aux-Dames en aval. Cette aire est couverte par douze cartes contigües de l’atlas. La couche « moulins » : les cartes de l’atlas représentent les moulins comme des bâtiments ordinaires et non grâce à un symbole précis : seule la localisation (le long d’un bief par exemple) permet de déduire que le bâtiment présent est un moulin. Les moulins au fil de l’eau situés au coeur des agglomérations sont par conséquent difficilement perceptibles et certains doivent échapper à cette première approche. En certains lieux, les cartes montrent un bief, voire un barrage, mais pas de bâtiment de moulin ; dans ce cas, le moulin n’est pas figuré. La table attributaire contient des champs aujourd’hui non remplis : les dates d’apparition, de construction, d’arrêt de l’activité meunière ou de destruction seront complétées par des recherches bibliographiques annexes.

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    Plan général du port de la Râpée et des abords de la gare projetée dans les fosses de l'Arsenal. Carte dressée par Gérard, ingénieur ordinaire à Paris (1809). Les traits rouges indiquent les quais projetés. Les quais ne devant pas rétrécir le lit de la rivière , leur construction se fera au dépend des habitations existantes. Les traits en bleu se rapportent à la construction du port. Ce projet a été modifié, et validé au cours d'un long processus de plusieurs mois visibles par les différents paraphes. La profondeur est figurée non seulement par une coupe transversale de la rivière. Les cotes se rapportent au zéro du pont de la Tournelle.

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    Cette carte s'inscrit dans un ensemble de six feuilles qui présentent le cours de la Marne depuis l'embouchure de la Seine à Bercy jusqu'à Troissy. Les cartes ont été élaborées en 1836. Il s'agit ici de la feuille 2 : le cours de la Marne de Joinville-le-Pont à Cornetin.

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    Carte manuscrite, dessinée à la plume et lavée de rouge et de jaune. La couleur rouge indique les limites du département de l'Eure. La couleur jaune est utilisée pour les départements de la Seine et Oise, du Cher et du Loiret. Les toponymes sont figuré par des points rouges dont la taille dépend de l'importance de de la ville. Le dessinateur a en fait copié une carte et s'est amusé à jouer avec les codes élaborés à l'époque moderne. En haut à gauche la rivière s'échappe de la bordure qui elle reste très conventionnelle. Un certain dynamisme, rompant avec l'austérité du dessin est apporté par le titre qui est très travaillé. Cette exagération est la marque d'une connaissance, d'une appropriation et d'une réponse aux conventions du XVIIIe siècle, presque tombées en désuétude au second quart du XIXe.

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    Cette carte a été levée à l'occasion de la construction du canal du Loing. Le projet élaboré à partir de 1644 a débuté en 1720 et le nouveau canal a été ouvert trois ans plus tard. La carte a donc sans doute été réalisée entre 1720 et 1723. La mise en couleur et l'iconographie de la carte restent parfaitement conventionnelles et correspondent aux réalisations de cette période. Son géoréférencement révèle que notre document est assez exact. On remarque une modification du tracé du canal près d'Epizy, peut-être le résultat de la modernisation des canaux prévus dans le cadre du plan Freycinet.